Dédicace de Laëtitia Crnkovic
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Loïc Le Guillouzer séjourne régulièrement en Californie du nord, chez les Indiens Karuk, depuis les années 60. L’écriture de sa trilogie karuk lui aura pris dix ans : les trois romans, qui peuvent se lire indépendamment les uns des autres, racontent une aventure qui se poursuit au travers du regard d’un personnage différent à chaque fois. L'auteur est parti d’une histoire vraie qui lui a été racontée au cours d’une soirée entre amis, celle d’un chercheur d’or breton qui s’était distingué en prenant fait et cause pour les Indiens Karuk à une époque de violence inouïe, celle de la ruée vers l’or en 1852. Il a imaginé cette trilogie contemporaine entre découverte, acculturation, génocide, recherche d’identité et bien sûr une bonne dose de fiction.
Le premier roman, Rouge Karuk, vient d’être entièrement revisité et fait l’objet d’une seconde édition. Le second volet, Cochinchine (Prix de Carhaix 2015) bénéficie d’une nouvelle couverture pour s’inscrire dans la trilogie. Le troisième, Retour à Callahan, vient de sortir : une jeune amérindienne trentenaire, cabossée par la vie, repart malgré elle à la recherche de son identité et de son destin, au travers d’un parcours semé d’embûches.
Loïc Le Guillouzer dédicacera les trois ouvrages de sa trilogie. Il sera accompagné de l’illustratrice Jeannic Le Guillouzer - Le Voyer, qui a réalisé toutes les couvertures.
Il dédicacera aussi ses traductions de légendes amérindiennes, projet qu’il a pu concrétiser grâce à un partenariat entre les éditions Naturegraph en Californie et les éditions Goater en Bretagne : les Légendes Anasazi et les Contes et Légendes des Indiens de la Klamath River.
Que se trame-t-il exactement sur la Zad de Notre-Dame-des-Landes ?
Notre anthropologue dessinateur mène l'enquête : s'agit-il d'un kyste peuplé de hippies violents ? Trop drogués pour comprendre qu’il faut partir puisque le projet d’aéroport est abandonné ? Ou de l’avant-poste, en Occident, d’un nouveau rapport au monde, affranchi de la distinction entre Nature et Culture ?
L'enquête emprunte des chemins imprévisibles sur ce bocage qui, d'emblée, nous absorbe, nous transforme et recompose les liens que nous entretenons avec les plantes, les animaux et le territoire.
Ancien chercheur en sciences cognitives et philosophie, Alessandro Pignocchi s’est lancé dans la bande dessinée avec son blog, Puntish. Son premier roman graphique, Anent. Nouvelles des Indiens Jivaros (Steinkis), raconte ses découvertes et ses déconvenues dans la jungle amazonienne, sur les traces de l’anthropologue Philippe Descola. Dans les deux suivants, Petit traité d’écologie sauvage et La Cosmologie du futur, il décrit un monde où l’animisme des Indiens d’Amazonie est devenu la pensée dominante, et où un anthropologue jivaro tente de sauver ce qui reste de la culture occidentale.
Petit traité d'écologie sauvage - Alessandro Pignocchi - STEINKIS
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À Richards Bay, en Afrique du Sud, c’est le choc.
Un homme s’est métamorphosé. Il arbore des mâchoires proéminentes, est couvert de poils, ne parle plus.
Bientôt, à New York, Paris, Genève, des Homo erectus apparaissent en meutes, déboussolés, imprévisibles, semant la panique dans la population.
De quel virus s’agit-il ?
Que se cache-t-il derrière cette terrifiante épidémie ?
Une scientifique française, Anna Meunier, se lance dans une course contre la montre pour comprendre et freiner cette régression de l’humanité.
Partout, la question se pose, vertigineuse : les erectus sont-ils encore des hommes ?
Faut-il les considérer comme des ancêtres à protéger ou des bêtes sauvages à éliminer ?
Un cauchemar planétaire
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La campagne au bord de la mer.
Une jeune femme, accompagnée d'une petite fille, arrive une nuit et squatte la maison d'un peintre. La gamine est muette, dit pourtant des choses à travers les pages d'un cahier, dit surtout qu'elle a tué sa mère en la poussant dans l’escalier…
Jusqu'au premier mot est un huis clos violent qui emprunte aux contes et se termine là où s'envolent les âmes.
Ancien guide aux baleines et rédacteur pour le ministère de l'Environnement canadien, Pascal Millet est auteur de nouvelles, de romans noirs (éd. XYZ, Les 400 coups, Liv'Editions…) et de livres pour la jeunesse (Boréal). Plusieurs sont traduits en anglais et en espagnol. Derniers romans parus : Amour de louve chez Boréal junior (2017), Sayonara (2016) et Le Cueilleur de rêves (2016) aux éd. Sixto, Morgane Mafia – Locus Solus, 2017
Jeudi 20 décembre
de 10h30 à 13h00
En ce début d’automne, Lisi, expatriée à Oran rentre en Bretagne pour l’enterrement de sa mère qu’elle n’a pas revue depuis plus de 10 ans. Au village, la vie a peu changé et l’accueil qu’on lui réserve est plutôt maussade. Les bouches se ferment. Mais que lui reproche-t-on?
Les fantômes de son enfance l’assaillent. Elle va tenter de comprendre les liens qui l’unissaient à sa famille.
Trente ans après la fin de la guerre d’Algérie, elle perce enfin les mystères qui ont déterminé sa vie. Partagée entre déterminisme et libre arbitre, d’ici ou de là-bas, Lisi veut retrouver la paix pour continuer à avancer.